Je reçois tous les adultes et adolescents qui ressentent le besoin de venir consulter. Qu’il s’agisse de dépressions, de phobies, de « burn out », de troubles obsessionnels, de faible estime de soi, ou tout autres types de difficultés psychologiques… Il n’y a pas de mauvaises raisons de venir consulter, tant que la personne est mue par une véritable volonté de changements, nous pourrons travailler ensemble.

S’il est important que le travail que l’on effectue ait un coût réel, il ne s’agit pas non plus d’ajouter des difficultés financières aux difficultés  psychologiques. Il s’agira alors de trouver le tarif juste, en fonction de votre situation actuelle.

 

 

On ne peut jamais savoir à l’avance combien de temps sera nécessaire. Pour certains, quelques séances suffisent, pour d’autres il faudra des mois ou des années. Mais lorsque le temps sera venu de mettre un terme à notre collaboration, nous le sentirons, vous et moi.

  Les consultations

Les adolescents

Plus qu’une tranche d’âge bien définie, l’adolescence est un processus qui court souvent plus longtemps qu’on ne l’imagine. C’est du corps que tout part: les tonalités nouvelles qu’amènent la puberté imposent un changement à l’individu tout entier. 

Ceci va retentir sur la dynamique pulsionnelle, relationnelle, sur la confiance en soi, etc… L’essentiel va alors se situer au niveau des questions de places (dans la famille, dans le monde, dans le groupe), de séparation (avec la période de l’enfance, avec les parents) et d’appropriation d’un corps qui est maintenant mature.

Les adultes

Les questionnements qui amènent les adultes à consulter sont des plus variés, mais quel que soit le symptôme il y a généralement un sentiment de malaise qui s’en dégage. Il me semble important dans tous les cas de chercher en profondeur la cause du mal-être.

La narration des situations du quotidien, des rêves et souvenirs d’enfance sont des éléments utiles pour mettre au travail les difficultés rencontrées. L’idée c’est de tisser du lien entre ce qui se passe aujourd’hui pour le patient, et son histoire. Il arrive que quelques séances suffisent à recréer cette connexion avec soi-même, mais c’est souvent plus long ; pour la plupart des gens cela demande plusieurs mois.